Flash info
VOIRIE : Suite aux travaux menés parallèlement sur le réseau d'eau et le réseau de chaleur, la rue Louis Brindeau au Havre est de nouveau accessible à la circulation dès ce lundi 18 août.
Finances
Mise à jour le
La voie verte du Bois du Vagabond Bien-Aimé, longue de 550 mètres, prend place sur le sentier existant. Elle permet de relier le plateau du Cap de la Hève à la ville basse. Cet aménagement, d’une largeur de 3 mètres, contribue au renforcement de la sécurité des piétons et des cyclistes.
Un enrobé écologique a été choisi pour permettre l’utilisation de la voie verte en toutes saisons, quelles que soient les conditions météorologiques. Grâce à sa teinte beige clair, la voie est mieux insérée dans le cadre paysager du bois et est plus facilement identifiable lorsque la luminosité se fait plus faible.
Une attention particulière a été apportée à la protection et à la préservation des arbres durant tout le déroulé du chantier.
Des pictogrammes au sol ont été disposés de chaque côté de la liaison cyclable pour rediriger les cyclistes vers ce nouvel aménagement.
Coût total estimé du projet subventionné : 137 500 € HT.
Montant de la participation de la Région Normandie : 55 125 € HT.
Montant de la participation de l’État au titre du Fonds Vert : 37 500 € HT.
En 2024, la Communauté urbaine a réalisé deux liaisons cyclables sur le secteur de Saint-Romain-de-Colbosc :
Ces deux liaisons intercommunales permettent de relier en toute sécurité les communes de Gommerville et de La Remuée au pôle d’attractivité que constitue la ville de Saint-Romain-de-Colbosc. Elles répondent à un besoin exprimé de mobilité au quotidien.
Ces liaisons courtes, bucoliques et facilement praticables du fait de l’absence de relief, prennent place sur l’emprise de chemins agricoles déjà existants. La structure des voies a été renforcée et un large revêtement y a été apposé afin d’accueillir de façon optimale tous les usagers de modes doux.
Ces voies, initialement destinées au seul trafic agricole et à la promenade, sont ainsi maintenant confortablement partagées entre piétons, véhicules agricoles, cavaliers, cyclistes et utilisateurs de trottinettes.
Coût total estimé du projet subventionné : 1 320 000 € HT.
Montant de la participation du Département de Seine-Maritime : 185 000 € HT.
Montant de la participation de la Région Normandie : 129 000 € HT (liaison Gommerville - Saint-Romain uniquement).
Montant de la participation de l’État (appel à projet n°6) : 180 000 € HT.
Mises en service en 2012, les deux premières lignes de tramway du Havre (A et B) accueillent plus de 50 000 voyageurs par jour. Elles ont contribué à une augmentation de 30% de la fréquentation des transports en commun de l’agglomération havraise. Forte de ce succès, la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole souhaite poursuivre ce développement avec l’extension du réseau de tramway, afin de desservir d’autres zones urbanisées et des pôles importants de services et d’emplois.
Deux axes formeront la future ligne C :
Coût total estimé du projet subventionné : 355 000 000 € HT.
Montant de la participation du Département de Seine-Maritime : 14 Millions €.
Montant de la participation de la Région Normandie : 40 Millions €.
Montant de la participation de l'Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine : 1 272 807 €.
Montant de la participation de l’État au titre de l'appel à projets TCSP : 40 Millions €.
Montant de la participation de l’État au titre du Fonds Vert : 117 457 €.
Montant de la participation de l'Europe par le biais du dispositif FEDER : 746 072,22 €.
En décembre 2024, la Communauté urbaine a démontré son engagement en faveur de la protection de la biodiversité en acquérant 71 hectares de boisements et de coteaux boisés sur la commune de Saint-Vigor d’Ymonville. Cette initiative vise à préserver ces espaces, rares sur le territoire (7%), qui subissent de fortes pressions telles que les coupes rases souvent pratiquées à des fins économiques.
Ces boisements forment pourtant un écosystème vital car ils jouent un rôle dans la gestion de la ressource en eau, le stockage de carbone et la préservation de la biodiversité. Ils constituent de véritables réservoirs de vie, abritant une multitude d'espèces animales et végétales. En protégeant ces zones, la Communauté urbaine assure la pérennité de ces services écosystémiques essentiels.
Outre les avantages écologiques, ces espaces naturels offrent des bénéfices culturels et de bien-être pour la population locale. La Communauté urbaine envisage d'ailleurs de rendre certaines parties de la forêt accessibles au public. Une manière de permettre aux habitants de se reconnecter avec la nature, de profiter de promenades en forêt et de découvrir la richesse de la biodiversité locale.
Coût total estimé du projet subventionné : 630 000 €.
Montant de la participation de l’État au titre du Fonds Vert : 527 000 € (soit 80 %).
En l’échange de cette participation, la Communauté urbaine s’engage à protéger sur le long terme ce boisement.
L’objectif de cette étude, réalisée par le service Transition écologique, dont le prestatire est Gama Environnement, est de permettre une meilleure prise en compte de la biodiversité par les propriétaires et exploitants forestiers tout en pérennisant la ressource en bois local.
Aujourd’hui, 90% des forêts du territoire appartiennent à des propriétaires privés et beaucoup d’entres elles sont concernées par des coupes rases.
Depuis le lancement de cette étude en 2024, la Communauté urbaine décline une approche collaborative en associant toutes les parties prenantes de la filière bois (élus, propriétaires et gestionnaires forestiers, Office National des Forêts, etc). De cette manière, elle s’assure que les enjeux et préoccupations de chacun soit pris en compte.
Cette étude définira les orientations et le programme d’actions s’inscrivant dans le court, moyen et long terme et proposant des solutions aux problématiques identifiées en termes de gestion et de protection forestière.
Coût total estimé du projet subventionné : 40 000 €.
Montant de la participation de l’État au titre du Fonds Vert : 32 000 € (soit 80 %).
Un poste dédié a été créé au sein de la collectivité dans le but d’établir une stratégie foncière dédiée à la protection des espaces naturels. Le principal objectif de cette démarche est de connaître l’état du patrimoine naturel de la Communauté urbaine, afin de protéger les secteurs écologiques les plus riches (les réservoirs de biodiversité) et savoir où restaurer en priorité les réseaux écologiques (les corridors de biodiversité). De cette manière, la Communauté urbaine favoriserait la libre circulation des espèces et l’augmentation de la part d’espaces naturels et leur co-bénéfices (protection de la ressource en eau, amélioration de la qualité de l’air, valeur paysagère etc).
Pour ce faire, une commission de préservation des Espaces naturels, agricoles et forestiers (ENAF) a été créée.
Coût total estimé du projet subventionné : 496 100 € sur 3 ans (concerne le poste et l’étude de la stratégie foncière).
Montant de la participation de l’État au titre du Fonds Vert : 50 %.
La Communauté urbaine conforte son engagement en faveur de la transition écologique en développant son parc de recycleries sur les centres de recyclage du Havre Sud et Nord, de Montivilliers et de Saint-Romain-de-Colbosc.
Une recyclerie est un espace de don qui permet aux usagers de déposer librement des objets dont ils n'ont plus l'utilité mais qui trouvent une seconde vie.
Pour ces projets, la Communauté urbaine a pu compter sur l’audace de ses élus qui ont permis d’innover en réemployant des matériaux issus de la déconstruction de l’ancien centre technique des déchets.
De par leur fonction et leur mode constructif inédit en France, ces 4 recycleries représentent un modèle exemplaire d’économie circulaire.
L’ouverture au public est prévue à l’automne 2024.
Coût total du projet subventionné : 926 095,17 €.
Montant de la participation du Département de Seine-Maritime : 324 133 €.
Montant de la participation de l'État par le biais du dispositif FNADT : 286 909 €.
Pour répondre à l’objectif de généralisation du tri à la source des biodéchets, la collectivité a lancé en 2021 une étude de faisabilité afin de définir les modalités techniques et économiques pour la mise en place d'un dispositif généralisé du tri à la source des biodéchets.
Cette étude réalisée par le bureau d'études ECOGEOS a permis de déterminer la quantité de biodéchets produits sur le territoire et de faire émerger trois scénarii correspondants au contexte local et aux actions déjà engagées sur le territoire. Le scénario retenu repose sur un déploiement de solutions complémentaires pour les ménages et les professionnels non équipés.
En effet, afin de garantir une équité de service, les élus du territoire ont choisi le scénario visant à élargir les consignes de tri des biodéchets en porte à porte aux déchets carnés et à déployer la collecte en point d'apport volontaire dans toutes les communes. En complément du dispositif de collecte séparée, Le Havre Seine Métropole envisage également de renforcer le compostage de proximité.
Objectifs :
Coût total estimé du projet subventionné : 6 732 160 €.
Montant de la participation de l’ADEME : 1 547 137,20 €.
Montant de la participation de la Région Normandie : 35 000 € (étude de préfiguration).
La Région a également été financeur de l’expérimentation d’accompagnement au changement de comportement dans le cadre de la collecte séparée des biodéchets sur la commune de Sainte-Adresse à hauteur de 12 000 €.
Afin de répondre aux enjeux énergétiques actuels et de mieux maîtriser la consommation, la Communauté urbaine a lancé en 2022 un plan d’économies d’énergie incluant un volet consacré à son dispositif d’éclairage public, constitué de plus de 41 000 luminaires.
En matière de maîtrise du fonctionnement de l’éclairage public, les 1 061 armoires qui alimentent les différents points lumineux vont être équipés d’un système de pilotage à distance, permettant de gérer l’allumage et l’extinction de l’éclairage, les coupures nocturnes et les risques météo en particulier.
Par ailleurs, en termes d’optimisation du matériel d’éclairage, quelques 13 589 luminaires parmi les plus anciens vont être remplacés par du matériel utilisant la technologie LED, beaucoup moins énergivore (une économie d’énergie d’environ 35 à 40% est attendue).
Coût total du projet subventionné : 10 937 308,74 €.
Montant de la participation de l’État au titre du Fonds Vert : 2 874 729,54 € (soit 26 %).
La construction de ce gymnase par la Communauté urbaine offre un équipement de qualité et adapté permettant aux sportifs de pratiquer les activités de loisirs dans de bonnes conditions sanitaires et de sécurité.
Le gymnase sera construit sur l’emprise de l’ancien équipement et sera associé à la salle d’évolution.
L’équipement d’une surface de 2 000 m², associé à la salle d’évolution de 450 m² environ, comprend :
Il permet la pratique du handball, du volley, du basket, du badminton, de l’escalade et de toutes autres activités sportives nécessitant des surfaces libres horizontales (gymnastique, sports de combat…).
Il sera opérationnel à la rentrée de l’année scolaire 2024-2025.
Coût total du projet subventionné : 4 144 827 €.
Montant de la participation du Département de Seine-Maritime par le biais du Contrat de territoire : 762 000 €.
Montant de la participation de la Région Normandie par le biais du Contrat de territoire : : 150 000 €.
Montant de la participation de l'État par le biais du dispositif DSIL : 413 885,83 €.